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Jonas Fortier est d’avis que son recueil précédent, Chansons transparentes , présentait un ensemble de poèmes sereins et ancrés, mais un peu flottants et hors d’atteinte, alors que les poèmes de Courbure de la terre , dit-il, « sont plus endeuillés, plus inquiets de leur sort, ils palpitent, ils ont des vertiges, des étourdissements, ils sont comme des paysages ou des villes vus de très haut : on embrasse du regard, de loin, on voit plein de choses en sachant très bien qu’il y en a plein d’autres qu’on ne voit pas.